Mon histoire débute bien avant que vous ne soyez né. Comme ma vie précédente est lassante à raconter, je vais vous épargner ce chapitre. Je fus nommé directeur de la Police assez vite dans ma vie. Étant autoritaire, j'attirais vite les foudres de mes coéquipiers sur moi. Par la suite je fus contacté par le gouvernement, qui s'est mis à contrôler ma vie du jour au lendemain. Puis vint un entraînement intensif, même le conditionnement fut dur à m'imposer. Par la suite je devins le pire chasseur de créatures existant sur notre planète et je suis fier de faire ce boulot. Quoi de mieux que d'exterminer cette vermine?

J'ai un physique de trentenaire, que dire, je suis d'une assez grande taille. Mes yeux sont de couleur marron foncé et j'ai les cheveux très courts, on va dire littéralement au ras de mon cuir chevelu. Je m'habille souvent en tenue de militaire, il faut dire que cela va souvent avec le travail que je fais.

Ma vie prit un sens quand le Génome apparut. Vous allez me dire étrange pour une fille, oui j'avoue que ma vie passée était plutôt morose et fade. Ce fut quand les vampires apparurent que je me suis vraiment amusée. Dans ma vie passée, j'avais appris à me battre et à me défendre en cas d'attaque. J'avoue que la première fois que j'ai tué un vampire, cela ne m'avait pas réjouie, mais après j'y ai pris goût. Cela devait être pour cette raison que je fus contactée par le gouvernement. Malgré l'entraînement intensif auquel j'ai eu droit, mon refus d'être conditionnée et de tuer des mutants n'a pas été assez fort, maintenant je n'ai que le choix de faire mon travail si je ne veux pas perdre la vie.

J'ai de longs cheveux noirs, j'avoue que les cheveux courts ne me plaisent pas et mes yeux rejoignent la couleur de mes cheveux. Mon teint est bronzé dû à mes origines mexicaines. J'ai une silhouette svelte et musclée, oui je n'aime pas trop les morphologies chétives. Que raconter d'autres? Mon style vestimentaire reste assez masculin, vu que pour se battre, porter une robe n'est pas l'idéal. Je porte toujours sur moi des armes, on ne sait jamais.